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Mel autour du monde
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28 janvier 2020

28 janvier 2020

Bon, mes bonnes résolutions n'ont pas tenu longtemps. Quelques heures après le message où je disais que j'avais résisté 72h, je lui renvoyais un message et on papotait par sms... 

Le lendemain, je lui envoie un extrait de "Les hommes viennent de Mars et les femmes viennent de Venus" :

"On reconnait de plus en plus que la majorité des maladies physiques sont directement liées à des problèmes émotifs non résolus. Une souffrance émotionnelle refoulée se transforme généralement en souffrance physique et peut même causer une mort prématurée. De plus, la plupart de nos manies, obsessions et dépendances destructives sont l'expression de nos blessures émotionnelles."

"Et oui..."

Je lui fais suivre un autre extrait d'un site internet : "Les sinus, de par leur proximité avec la muqueuse nasale, sont en relation avec le "sentir". Il y a un conflit de puanteur dans la sinusite, comme pour le rhume, mais ici avec une masse conflictuelle supérieure. Ca sent vraiment très mauvais pour moi, ça pue, j'ai donc une grande peur/appréhension pour l'avenir, une grande angoisse. J'ai un mauvais pressentiment, je redoute ce qui s'insinue. J'ai peur de ressentir de la douleur : je ne veux plus ressentir = je ne veux plus sentir. On est dans le virtuel plus que dans le réel, avec une touche de paranoïa : on a besoin de se protéger d'un problème qui n'existe pas mais qui pourrait exister à l'avenir, qui n'existe que parce qu'on l'a imaginé. En phase de conflit actif, des ulcérations indolores apparaissent dans la muqueuse des sinus, dont le sesn est d'agrandir à la fois la muqueuse, pour faire passer le morceau particulièrement puant, et de multiplier la capacité d'analyse de l'air par les sinus. On retrouve aussi une notion de séparation dans la sinusite, (...)" Psychologie à deux balles... ou pas....

"Mouais, moyen convaincu par l'article même si c'est sans doute pas une coïncidence comme ton acouphène ou ton épaule"

"Le seul qui a réussi à faire s'apaiser les tensions de mon épaule c'est toi et tes massages.
Sans arrière pensée je te demanderai bien un massage"

Une heure plus tard : "Oublie ce que je t'ai dit. Malade+dimanche soir=je n'aurai pas dû t'écrire"

"Désolé je n'étais pas dispo. Bon courage pour ce soir du coup !"

(à ce moment ça va vraiment bof, j'ai 39 de fièvre)

"Ma demande tient toujours... je pensais que tu ne voulais pas"

"Le temps que je rentre et que je mange ça va faire tard. Et on sait tous les deux comment ça risque de finir un massage et j'ai pas les idées claires pour ça"

"Rien d'autre qu'un massage. Mais je comprends. Désolée de t'avoir dérangé."

La suite lundi soir (et comme j'ai la flemme de tout retaper, ce sera capture d'écran direct) :

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Commentaires
M
C'est quoi ce smiley ?
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A
😀
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